BIEN-ÊTRE AU TRAVAIL : comment soutenir ses salariés en difficulté?

Publireportage Humanis. Que faire quand un salarié est en situation de surendettement, est fatigué par l'accompagnement d'un proche dépendant ou vit une séparation compliquée ?

Publié le 24/08/2018 par Equipe Eco121 / Lecture libre / Temps estimé: 2 minutes

Que faire quand un salarié est en situation de surendettement, est fatigué par l'accompagnement d'un proche dépendant ou vit une séparation compliquée ? « De plus en plus de gens font face à des difficultés sociales qui relèvent de la sphère privée mais qui peuventdéborder dans l'universprofessionnel », observe Elodie Fiquet, assistante sociale et coordinatrice du dispositif Humanis Accompagnement Social des Salariés (photo). Mis en place début 2017, ce service vise justement à combler un trou dans la raquette des entreprises. Parfois, les salariés en difficulté se confient à leur DRH ou leur manager et ces derniers se retrouvent démunis, ou ne se sentent pas légitimes.

L'intérêt du service consiste à laisser à un tiers expert, en l’occurrence des assistants de service social, le soin de traiter les sujets, dans un anonymat total vis-à-vis de l’entreprise, et sur la base d’une démarche volontaire du salarié. « La confidentialité est la pierre angulaire de ce dispositif », souligne Elodie Fiquet. Les grandes entreprises développent de plus en plus de services concourant au bien-être de leurs salariés, mais la question touche toutes les entreprises, même petites, qui ont à cœur elles aussi de soutenir leurs salariés avec des moyens alloués souvent plus modestes. Humanis a développé pour cela un système flexible qui adapte la taille du dispositif à celle de l'entreprise, avec des forfaits de 2, 4, ou autant d'accompagnements souhaités.

Quel accompagnement ?« La première étape est d'apporter une écoute bienveillante, car ils ont parfois honte de parler de leur situation. Cela permet aussi une prise de conscience et un recul», raconte Elodie Fiquet.Les accompagnements mis en place ont par exemple permis à une personne en ruptured'hébergement d’intégrer une résidence sociale ou encore à un salarié souffrant d’addiction d’intégrer un parcours de soins. Des réponses individuelles qui ont aussi une vertu collective : un climat social apaisé, un absentéisme réduit, et du temps de management économisé. Gagnant-gagnant