God Save the Kids, a? lassaut du e-business
Cest apre?s un accident de ve?lo qui la longuement immobilise? que God Save the kids a germe? dans lesprit de Ludovic Leurent. Ce papa de cinq enfants, ex-directeur web chez Kiabi vient dinaugurer un nouveau pure player base? a? Villeneuve dAscq. Dans le jargon, une marketplace destine?e « a? faciliter la vie des parents et accompagner le?volution des enfants ». Pour cela, il a noue? pre?s de 80 partenariats, en cours dagre?gation sur le site, avec des distributeurs qui mettront dans un premier temps 500 marques en valeur pour 18 000 produits a? ce jour. Ve?tements, chaussures, pue?riculture, mobilier, de?coration ou encore jouets, le catalogue en ligne propose des grandes marques comme des cre?ateurs plus confidentiels. « Aujourdhui les mamans ne se cantonnent plus a? une seule enseigne », analyse le fondateur qui souhaite « cre?er un carrefour daudience qualitatif » sur sa plateforme. Son objectif : « proposer un gain de temps, de?conomie et fonctionner a? la fois comme un comparateur ». Sil veut attirer les primipares gra?ce a? une gamme grossesse, un moment ou? lon change ses habitudes de consommation, il dit se positionner « sur un marche? en renouvellement permanent ». Cest gra?ce a? la viralite? du web et a? des e?ve?nements relaye?s sur les re?seaux sociaux comme des castings que Ludovic Leurent envisage de recruter et fide?liser sa cliente?le. Dans un second temps, des ope?rations de type « ventes flash » devraient e?galement voir le jour. Le site devrait rapidement monter en puissance gra?ce a? lhe?bergement (virtuel puisque chaque partenaire garde son stock) de 50 000 produits soit 1000 marques, courant 2014. Mais surtout se?duire durablement les parents en leur offrant une large gamme, lun de ses atouts sur ses confre?res. Sil pre?fe?re rester discret sur ses aspirations, il conce?de quelles sont « fortes » puisquil pre?voit de multiplier a? terme ses effectifs de 9 a? 30 personnes.
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