Dans les coulisses d'Eco121

Tout commence chaque mois par une confe?rence de re?daction (de g.a? d. photo 1 : Gre?gory Leduc, directeur artistique, Julie Dumez, journaliste, et Olivier Ducuing, Dg et re?dacteur en chef). Le gros du menu est alors de?cide? : quel sujet d'enque?te, qui est notre interviewe? du mois, quels grands sujets d'actualite? vont s'imposer, quels choix pour nos pages « froides ». Ce qui donne lieu a? un « chemin de fer ».

La re?partition des ta?ches est e?galement de?cide?e au sein de notre e?quipe ou en externe avec plusieurs collaborateurs re?guliers, comme Armelle Roussel, Sylvain Marcelli, ou l'oenologue Eric Dugardin et nos photographes Se?bastien Jarry et, ici lors de l’interview de Dominique Mirada, Sophie Stalnikiewicz. Notre assistante de direction, He?le?ne Naubourg, est en charge des services ge?ne?raux et des relations avec les abonne?s.

Au cours des semaines suivantes, le contenu du reste du magazine est de?cide? en fonction de l'actualite? e?conomique ou sociale, mais aussi des scoops que nous pouvons lever et des contacts que nous tressons au quotidien. Entre deux publications, Eco 121 est pre?sent sur le web a? travers son site Internet, qu'il faut actualiser re?gulie?rement avec de nouvelles informations. Le site rec?oit 13 000 visiteurs uniques par mois.

L'e?quipe publie e?galement deux fois par mois une newsletter, destine?e a? ses 18000 contacts de de?cideurs et CSP +. Impossible pour un me?dia aujourd'hui de ne pas avoir une pre?sence web significative. Eco121 a d'ailleurs aussi un compte twitter qui s'approche des 1100 abonne?s. De?s que les articles sont pre?ts, ils sont monte?s par le directeur artistique, Gre?gory Leduc. Les choix d'illustration, les ouvertures d'enque?te, la de?finition de la Une sont conduits en e?troite collaboration au sein de l'e?quipe.

En paralle?le, la re?gie publicitaire, Aremedia, dirige?e par Ruth Eloy, prospecte les annonceurs pour le compte du journal. Nous comptabilisons souvent une dizaine de pages de pub par magazine.
Arrive le « bouclage ». Il s'agit de relire plusieurs fois le journal, d'e?liminer les coquilles, d'harmoniser, de ve?rifier tout de A a? Z. Quand le magazine est fini, le fichier complet est envoye? a? l'imprimeur, la SIB, a? Boulogne-sur-Mer. Celui-ci l'inte?gre sur son propre logiciel et nous envoie un « traceur nume?rique », copie fide?le du rendu de?finitif. L'occasion souvent de de?couvrir encore une petite erreur ici ou la? et d'y reme?dier. Puis c'est le BAT, le bon a? tirer, et l'impression.

Le journal est ensuite achemine? chez le routeur d'Eco121, MDO, a? Tourcoing. Il s'occupe de mettre le magazine sous film, d'y ajouter des « asilages » s'il y a lieu, c'est a? dire des documents promotionnels pour le compte d'annonceurs. Il est ensuite dispatche? aux diffe?rents destinataires par voie postale ou routie?re selon les cas. Ainsi 1000 exemplaires sont envoye?s chaque mois a? la SAD (Presstalis) qui diffuse ensuite le journal dans les kiosques et points de vente de la re?gion.

Lire aussi l'interview d'Olivier Verley, président de la SAS Ecopresse, éditrice d'Eco121